It's A Teenager Dream
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Titre : It's A Teenager Dream: Itinéraire D'Un Ingénieur Du Son
Auteur : Dominique Blanc-Francard et Olivier Schmitt
Date de publication : 2016
Editeur : Le Mot Et Le Reste
Type : Essai
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Dominique Blanc-Francard en 2016
Le célèbre ingénieur du son Dominique Blanc-Francard a retourné sa bibliothèque de souvenirs et ressorti tous les moments vécus entre les quatre murs insonorisés des studios d'enregistrement dans lesquels il a travaillé depuis plus de cinquante ans pour co-écrire ce livre avec Olivier Schmitt.
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D'abord musicien, Dominique Blanc-Francard a aussi fait carrière sous son propre nom
Nourri au son des années yéyé, Dominique Blanc-Francard - celui qu'on appellera DBF tel un label de qualité - est d'abord musicien. Sa curiosité insatiable le poussera à chercher plus loin dans la fabrique du son et à passer de l'autre côté de la vitre du studio d'enregistrement.
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Dominique Blanc-Francard (en bas à droite) avec Pink Floyd au Château d'Hérouville
Dans It's A teenager Dream, Dominique Blanc-Francard retrace, entre autres, les trois années passées aux mythiques Studios d'Hérouville où il a cotoyé les Pink Floyd, T. Rex, Cat Stevens ou le Greatful Dead, mais aussi son travail pour des artistes aussi divers que Serge Gainsbourg, Jane Birkin, Alain Bashung, Françoise Hardy, Julien Clerc, Jean-Louis Aubert ou encore Benjamin Biolay, Camille et Raphaël.
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Dominique Blanc-Francard est associé à des dizaines de tubes français et internationaux
Certains de ces souvenirs sont assortis de photographies, de documents, et d'autres ne sont que des images fixées dans son cerveau, mais toutes sont authentiques et incroyables.
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DBF (à gauche) avec T. Rex et Michel Magne au Château d'Hérouville
Au-delà des rencontres, cet ouvrage revient sur cinquante années de l'aventure technologique qu'il a eu l'opportunité de vivre, l'histoire des studios d'enregistrements, microphones, magnétophones et consoles, de l'informatique musicale et de la révolution digitale.
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Chaque décennie a charrié son lot d'innovations technologiques et d'évolutions sociales qui ont toutes eu une incidence sur la manière dont on a produit la musique et sur la façon dont les gens l'ont écoutée hier et l'écoutent aujourd'hui.
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DBF devant la console numérique du Studio Continental en 1982
Le son idéal est un mélange savant entre le son de l'instrument, la façon dont il est joué, l'endroit où il est placé, et en tout dernier lieu, le micro et préampli utilisé. Il m'aura fallu presque dix ans pour faire cette déouverte fondamentale, qui reste encore d'actualité aujourd'hui.